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Des hauts et des bas. Idéaux et débats. La vie quoi. Un grand huit, qui un coup vous met la tête à l’envers, un coup vous mène au ralenti, et toujours provoque les palpitations du grand soir ou du petit matin. Monter et descendre. Descendre et monter.

On ne fait que ça, « Tomber du ciel ».

Des hauts vertigineux, après une merveilleuse ascension, même sans tapis rouge. Des sommets inédits qu’on n’imaginait même plus atteindre. Des bas des plus profonds. Des bas de contention. Oppressants à foison. Souterrains, six pieds sous terre, le temps d’une virée underground.

Tout là-haut ou tout en bas, on continue de vivre. Parce que la vie continue. Du violon qui amorce « A pic » à celui qui signe l’accord final de « Rock & roll suicide », la musique ne s’arrête pas, elle se joue… de nous. Une partition changeante, comme le ciel au dessus de nos têtes, ininterrompue.

De « Confession nocturne » à « Over all », il n’y a qu’un pas. Il suffit de trouver de quoi trébucher. L’inverse est vrai aussi. D’un pas de danse, même maladroit, musique à tue-tête, on quitte « She was » pour « Orly » avec une escale chez les « Ecorchés vifs » ; « Amor doloroso ».

La vie ne fait pas de cadeau. La musique, si.

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