Que de chemin parcouru, que de balades silencieuses, dans le sable, entre les rochers, au milieu des corps étendus de cet été qui n'en finit pas. Des balades longues comme des journées de deuil, à attendre que le soleil se couche sur l'horizon. Un jour, leur tour viendra. En attendant, il leur faut continuer à marcher, à regarder le soleil se coucher. Question de survie.