Les lettres d'amour, parfois, traînent par terre. Il suffit de se baisser pour les ramasser, et de se délecter de ce que le genre épistolaire n'est pas mort, car il bouge encore. On pénètre alors l'intimité de celle qui s'est saisie d'un crayon à bille pour écrire son désir. Il suffit de se baisser, et de les ramasser. C'est toujours mieux que de les fouler au pied...
"Mon cher Marc,
Ce matin lorsque je me suis levée, j’ai été surprise de me trouver nue dans mon lit et après de voir les poils de ma chounette tous collés. J’ai téléphoné à ma sœur Josiane qui m’a dit que c’était toi qui m’avais ramenée donc j’en déduis que c’est toi qui m’a déshabillée et tu as dû te régaler l’œil et aussi la queue pour que mes poils soient aussi collés.
Je devais être énormément dans les vapes car je n’ai rien ressenti, ce que je regrette, et que j’aimerais bien que tu me refasses cette pénétration mais cette fois j’aurais le plaisir de voir et de sucer ta queue. Mais aussi de mon anus que j’ai regardé avec une glace car il me fait mal, tu as dû le triturer avec un doigt mais je ne pense pas que tu l’aies pénétré car cela m’aurait sûrement remis les idées en place et réveillée car mon petit trou est tout neuf et je me doute que la première fois doit faire mal.
Tu as remarqué que j’ai une toison bien fournie, j’ai fait un peu de ménage et j’ai enlevé à la crème les poils dans ma raie pour bien dégager l’anus car je compte bien que tu vas le pénétrer pour que je découvre ce plaisir. Tu n’es pas obligé de le dire à Josiane lorsque tu vas venir, viens directement à la maison, je te réserve une bonne surprise et on aura tout le week-end pour faire l’amour sans retenue ni tabou.
A très bientôt mon cœur
Valoue"