On passe nos vies à faire le deuil. De tout ce qui nous a fait rêver. De nos utopies les plus belles. Tailleurs de pierres tombales, gravées des épitaphes aussi simples que mélancoliques.
Le père Noël n'existe pas, pas plus que dieu ou l'amour éternel. Finalement, peut-être c'est tant mieux. Ne restons pas enfermés dans nos cercueils de chêne, même drapés de roses rouges, n'acceptons pas de mourir les zobs secs.
On aura toujours gagné ça ; n'avoir jamais fait de concession à perpétuité...