Sur ses caleçons, sur les chemises froissées de son chef d’équipe, sur les zèbres qui tournent en rond au zoo, sur les pulls marins, sur les colonnes de Buren, au milieu des tatouages, sur les papiers peints, sur le costume des vendeurs de voitures d’occasion, sur les bas des femmes qu’il croise dans la rue, dans les catalogues de fringues, sur le flanc de la voiture de Starsky et Hutch, sur les épaulettes des gradés, sur son téléphone portable, dans les toiles d’araignée, sur la mire de la télévision, sur les coussins du canapé, dans son frigo, même dans les dessins du ciel depuis sa cellule… il avait fini par ne voir que ça. Des barres mal codées, des codes mal barrés. Comme lui.